Et le pire boulot du monde....
C'était un vendredi. Un vendredi soir dans une petite bourgade bien tranquil, pas trop peuplée, bref juste ce qu'il faut. Les gens fatigués de leur semaine courraient s'abriter, les portes s'ouvraient et se refermaient sur des visages poupons, la chaleur d'un feu de bois, et le fumet d'un repas prometteur.
Mais un évenement bouleversa tout ce petit monde. On avait réuni dans une salle des petits êtres, plein de petits êtres si bien que plus un humain ne pouvait la traverser sans qu'immediatement milles petites mains viennent s'agripper à leur jambe. Ces êtres, c'était des enfants. Des enfants, et leur parents en pleine acte de soumission. D'autres adultes contemplaient ce spectacle avec un ravissement pervers, le vin chaud aidant. Le bruit était si intense qu'un orchestre qui devait égayer l'apocalypse, devint muet. Hors un homme, arriva à les faires taires. Pendant une seconde. Il apparu sur l'estrade,près des musiciens. Pour la foule ce n'était pas un homme, c'était Dieu. Mais très vite le bruit revint, plus fort que jamais, suivant la longue descente de l'homme. Moi, parmis les musciens, j'eu croisé son regard, froid, impénétrable et qui n'avait plus rien d'humain. Il s'avait ce qu'il avait à faire et il n'avait pas d'autres but, trop de souffrance lui ayant enlevé tout sentiments. Quand la dernière marche fût franchi, il disparu sous une marée d'êtres fanatiques que les parents poussaient, encourageaient, n'hésittant pas à bousculer les enfants des autres pour que leur progéniture soit la 1ère à recevoir sa bénédiction.
On alluma un bout de scène, devant la foule. Et la ce fût comme l'arrivée d'une immense vague. Tous les enfants se mirent à sauter et taper du pieds si fort que les murs se mirent à vibrer, le sol tremblaient et alors tous d'une seule voie claire et terrible comme sortie des Enfers ils crièrent:
"PERE NOEL SUR LA SCENE, PERE NOEL SUR LA SCENE, PERE NOEL SUR LA SCENE, PERE NOEL SUR LA SCENE.........!"
Mais un évenement bouleversa tout ce petit monde. On avait réuni dans une salle des petits êtres, plein de petits êtres si bien que plus un humain ne pouvait la traverser sans qu'immediatement milles petites mains viennent s'agripper à leur jambe. Ces êtres, c'était des enfants. Des enfants, et leur parents en pleine acte de soumission. D'autres adultes contemplaient ce spectacle avec un ravissement pervers, le vin chaud aidant. Le bruit était si intense qu'un orchestre qui devait égayer l'apocalypse, devint muet. Hors un homme, arriva à les faires taires. Pendant une seconde. Il apparu sur l'estrade,près des musiciens. Pour la foule ce n'était pas un homme, c'était Dieu. Mais très vite le bruit revint, plus fort que jamais, suivant la longue descente de l'homme. Moi, parmis les musciens, j'eu croisé son regard, froid, impénétrable et qui n'avait plus rien d'humain. Il s'avait ce qu'il avait à faire et il n'avait pas d'autres but, trop de souffrance lui ayant enlevé tout sentiments. Quand la dernière marche fût franchi, il disparu sous une marée d'êtres fanatiques que les parents poussaient, encourageaient, n'hésittant pas à bousculer les enfants des autres pour que leur progéniture soit la 1ère à recevoir sa bénédiction.
On alluma un bout de scène, devant la foule. Et la ce fût comme l'arrivée d'une immense vague. Tous les enfants se mirent à sauter et taper du pieds si fort que les murs se mirent à vibrer, le sol tremblaient et alors tous d'une seule voie claire et terrible comme sortie des Enfers ils crièrent:
"PERE NOEL SUR LA SCENE, PERE NOEL SUR LA SCENE, PERE NOEL SUR LA SCENE, PERE NOEL SUR LA SCENE.........!"